La DME.

Kézako ?

La DME c’est la Diversification Menée par l’Enfant.
Quand j’ai expliqué à mon entourage que je ne souhaitais pas passer par l’étape des purées et des compotes, j’ai été immédiatement et à chaque fois vue comme une hurluberlue.
Les gens y voyaient une pratique marginale et dangereuse. Parce que l’humain est fait de telle manière que lorsqu’il ne connait pas, il a peur et il juge sans même se renseigner.

J’ai connu ce mode d’introductions alimentaires en faisant mes propres recherches car le développement de l’enfant et les neurosciences m’intéressent.
J’ai vu passer ce « nouveau » truc : la DME ; et je me suis demandé ce que c’était.

Très rapidement, je me suis rendue compte que ce n’était ni une mode, ni quelque chose de nouveau.
Bien des populations dans le monde nourrissent leurs enfants sans en passer par les purées ainsi que dans notre passé également.

Et les avantages de la DME sont nombreux… Je viens donc vous en parler ici !

L’enfant partage le repas familial.
Il voit donc qu’il mange la même chose que tout le monde autour de la table.
On préconise d’ailleurs de manger tous ensemble et de ne pas faire manger le bébé avant la famille.
C’est un moment de partage.
Au delà d’une pratique c’est surtout un mode de vie. Une philosophie.
Vouloir partager avec son bébé des moments en famille et lui transmettre ces valeurs.

Pour ce qui est de la sécurité, c’est évidement au coeur de la pratique.
Pas de DME avant les 6 mois.
Le bébé doit tenir droit dans sa chaise haute.
On préférera d’ailleurs une chaise haute rigide plutôt que toute moelleuse pour éviter que l’enfant ne s’enfonce dedans.
L’important est que le bébé tienne bien assis et ne se penche pas en avant.
Parfois, à 6 mois pile, l’enfant ne tient pas bien droit dans sa chaise. On peut réessayer quelques jours plus tard jusqu’à ce que ça soit bon. Le développement à cet âge là va très vite. en 3 jours, ou une semaine, le changement peut être considérable. Il faut essayer. On peut commencer entre 6 et 8 mois.
En attendant, on continue de donner du lait, et de toute façon, le lait est l’aliment principal du nourrisson jusqu’à 1 an. Le reste n’est que de la découverte. Capitaliser sur la DME c’est aussi assurer à son enfant un meilleur éveil sensoriel et un meilleur développement de la motricité fine ainsi que de son palais et de toute sa bouche (moins de risque de soins orthodontistes plus tard 😉 ).

Mais on ne commence pas de la purée en attendant de passer à la DME. ça ne fonctionne pas ainsi !
Un enfant qui aura commencé la purée va faire passer l’aliment en le faisant glisser comme un liquide sur sa langue et ensuite dans l’oesophage. Si vous prenez le relai avec des morceaux, il aura tendance à vouloir faire la même chose, il n’aura pas le reflex de mastication et risque de s’étouffer.

Les allergènes sont introduis suivant un processus assez précis également.

Quelques règles de base sont à intégrer et je vous recommande vraiment la lecture du livre :
« Petites mains, grande assiette »

Quand on commence la DME, c’est avec des aliments de la taille du poing fermé de l’enfant (ou plus gros et on affinera petit à petit avec l’âge). Il faut donc adapter les menus de la famille en fonction (exemple : avocats bien murs, asperges, artichauts, pastèque, poire, brocolis…).

Cet article n’est pas dans le but de vous donner toutes les règles de sécurité de la diversification consciente mais plutôt de vous motiver à vous y renseigner pour peut être passer le pas. Je souhaite donc orienter mon écrit sur les avantages et pour ce qui est de la sécurité, vraiment, je vous conseille de vous renseigner avec entre autre le livre « petites mains, grande assiette » mais aussi par le biais de lectures, de blogs, de groupes facebook ou vous trouverez toutes les recommandations pour une aventures culinaires bien réussi.

Présenter ainsi des aliments solides a son enfant développera également sa mâchoire et favorisera l’arrivée des dents. Il va également développer sa motricité. Et il saura gérer les choses en bouches.
Par conséquent, s’il a des grands frères et grandes soeurs qui laissent trainer de petits jouets, vous serez plus en sécurité car vous saurez qu’il ne pourra pas les avaler. Il aura été habitué a avoir dans la bouche des aliments à mastiquer avant de les avaler. Si ça ne se mâche pas, il recrachera.

Je dois prévenir : il va en foutre partout !
Heureusement, nous avons une chienne, Nicole, qui se réjouissait des repas ! Bien campée aux pieds de la chaise haute… on se demande bien pourquoi !
J’ai eu tenté d’acheter des dispositifs pour éviter les salissures mais au final, mon sol en a vu d’autres et je préférais largement que rien n’entrave son appétit et son exploration.

Pour les boissons c’est pareil, pas de tasse à bec, de gourde, on privilégie l’autonomisation avec des petits verres adaptés aux petites mains. En plus si vous allaitez, cela évite les confusions sein-tétine.
J’avais fait le choix de ces modèles : Baby cup

Aujourd’hui Voltaire a donc 2 ans et 9 mois, il mange de tout avec plaisir et gourmandise. Les légumes, les fruits, le fromage c’est son dada. Moins la viande mais je pense que c’est peut être plus une histoire de texture et de mastication que de goût. Il utilise des couverts. A 1 an il piquait des coquillettes avec une fourchette.

Trop d’enfants développent des troubles et blocages alimentaires qui mènent à des conflits. L’avantage de la DME c’est que votre enfant aura fait un apprentissage par lui même et de manière consciente. Sans être « gavé » à la cuillère jusqu’a ce qu’il ait terminé son bol du purée.
Je pense souvent que mes fils ainés auraient dû avoir ce type de diversification car je les trouve très difficiles à manger. Les légumes sont refusés, les aliments ne doivent ni être trop mous ni trop durs, ni trop colorés. Je pense qu’avec une telle méthode ils auraient eu plus de facilité à apprécier la nourriture saine.

Je crois que le problème réside dans les carnets de santé de nos enfants ou il faut entrer dans des cases et des courbes. On focalise donc sur cela en voulant leur faire absolument prendre du poids pour qu’ils correspondent à des standards. Il est évident que mesurant 1,52m et pesant une cinquantaine de kilos, je ne donne pas naissance à des bébés de 54,5 cm et 4,500kg (Bisou Alessia ! 😉 )

Je vous en ai parlé dans mon article précédent sur l’allaitement, Cocon d’Eveil est également la personne qui peut vous accompagner dans un projet de DME.
Elle se situe du coté de Cahors et propose des ateliers.

Vous avez également cet article que je trouve très bien rédigé et très détaillé :

Enfin, je vous dirai que partager avec son enfant des mets, des repas et même des restaurants aussi jeune soit il, est un vrai régal. Plutôt que d’expédier le petit pot à coups de cuillerées dans la bouche « emballez, c’est pesé ! ».
De voir mon petit si curieux et si gourmand m’émerveille tandis que ses frères de 10 et 12 ans ne mangent que des pâtes et des choses industrielles sous vide. J’ai à coeur que mon enfant mange sain, son avenir et ainsi que celui de la planète en dépendent. Manger local, des produits de saison, variés, tout cela va également dans ma philosophie de vie un peu écolo. Mais c’est surtout pour sa santé que cela me semble important. Comme dirait quelqu’un : La santé est dans l’assiette. 😉

Paradise…

C’est dans ce lieu magico-paradisiaque que nous avons réalisé cette séance grossesse au bord de l’eau, une soirée d’été.
Vos portraits de grossesse se réalisent au cours du septième mois, il faut donc réserver votre place assez tôt pour que nous ayons le temps de bien organiser votre séance.
On réalise les images au 7ième mois car c’est la période la plus propice.
Vous êtes bien en rondeur et rayonnante !
Puis c’est aussi pour éviter si nous attendons trop de voir bébé se pointer avant la séance… ça serait dommage !
Alors réservez sans tarder ! http://www.leffetmere.com ou studio.leffetmere@gmail.com
A très vite ! 🙂

Tu es mère et je te soutiens

Je suis pro allaitement mais pas anti-biberon

Je suis pro portage mais pas anti-poussette

Je suis pro dme mais pas anti-purées

Tu l’auras donc compris, à toi la mère qui pousse la porte de mon studio, je t’accueille avec toutes tes convictions, tes choix et tes croyances.

Certes, j’ai mes idées et elles sont bien arrêtées. Je partagerai avec toi avec plaisir les 12 dernières années de ma vie, qui m’ont permises d’explorer ma maternité. Je te partagerai mon analyse et je commencerai certainement avec la phrase suivante :
« On devrait commencer par le troisième ! »

Je n’ai absolument pas élevé mes ainés comme j’ai élevé mon petit dernier.
Pour mes ainés, j’ai suivi aveuglement les codes sociétaux que l’on nous impose. Que cela soit conscient ou inconscient.
L’enfant doit dormir seul dans sa chambre, il faut qu’il soit dans son lit pour plus de sécurité, il faut qu’il passe par la nourriture mixée avant d’intégrer les morceaux. Il ne faut pas trop l’avoir à bras, pas trop ci, pas trop ça…
Avec mon petit dernier, je n’ai fait que nous écouter nous. Nos besoins. Nos envies. Les miennes, les siennes.
J’ai été une autre mère. Avec beaucoup moins de stress, beaucoup moins le poids des regards sur ce que je pouvais faire de mal.

Aujourd’hui, je vais vous parler ici d’allaitement et je documenterai de temps à autres le blog d’articles parlant de la maternité. De ma vision, de ce que je peux vous partager.

J’allaite Voltaire depuis sa naissance.
Exclusivement jusqu’à 6 mois comme le préconise l’OMS puis ensuite j’ai continué (l’OMS préconise jusqu’à minimum deux ans avec une alimentation variée et équilibrée puis invite au plus long).
A ce jour, on en est à plus de 2 ans et demi, presque 1000 jours ce qui était mon objectif initial et qui n’est pas prêt de s’arrêter.
Pourquoi ce choix ?
Je dis toujours « j’allaite parce que je suis feignante »
Cela peut sembler contradictoire, souvent les gens pensent que l’allaitement c’est du sacrifice.
Pour ma part c’est tout l’inverse.
Je ne me voyais pas devoir manipuler des packs d’eau, courir les magasins pour du lait industriel en poudre, laver des biberons… rien que de l’écrire ça me fatigue.
L’avantage était que c’était toujours prêt, sans vaisselle à laver, à anticiper. Ni des stocks à gérer, stocker, manipuler.

Pour rappel, Voltaire est arrivé le 22 janvier 2019 et j’étais alors seule avec mes ainées Victor et Vincent qui eux étaient en garde alternée.

Quand on est à son compte, le congés maternité après la naissance du bébé est de 30 jours.
Oui. Vous avez bien lu.
Une aberration.
30 jours.
A, à peine un mois de vie, je devais donc reprendre le chemin du travail, tout en gérant les grands, et cela seule en plein hiver. Bonheur.
L’allaitement m’a sauvé.
Il suffisait de dégrafer le décolleté pour apaiser, nourrir, abreuver mon enfant.
J’ai repris le travail et j’assurais mes séances avec mon nourrisson.
J’en profite au passage pour remercier tous les clients qui sont passés au studio à cette période sans jamais ne m’avoir fait sentir que mon enfant n’avait pas sa place auprès de moi alors que je travaillais.
Au bout de 9 mois, il a été chez une assistante maternelle. C’est la période dont nous avons eu besoin pour pouvoir être séparés. Je tirais mon lait une fois le matin, une fois l’après midi et je récupérais mon bébé sur la pause du déjeuner pour qu’il puisse profiter de la source. Le lait tiré quant à lui servait à l’assistante maternelle qui le lui donnait sans problème avec une dispositif adapté.
Medela, la marque référente de l’allaitement propose toutes sortes de cuillères, récipients ou biberons etc… qui permettent une continuité de l’allaitement sans l’entraver avec une confusion sein-tétine. Ainsi, ton enfant peut profiter de ton lait quand il est gardé par quelqu’un d’autre.
Je conseille également niveau tire-lait de contacter l’un des deux professionnels ci dessous et non de passer par la pharmacie.
– Amélie Legrand : 06 78 54 06 44
– Accès santé + : 05 63 27 77 46

Pourquoi eux plutôt que la pharmacie ?
Parce qu’ils vont trouver le matériel le plus adapté à vos besoins.
Les pharmacies ne sont pas spécialisées et vont vous donner du « standard » sans plus d’explications.
Mais nous ne sommes pas toutes formées pareil.
Il y a notamment la taille des mamelons à prendre en considération. Ainsi que la fréquence d’utilisation et d’autres choses encore qu’ils seront plus aptes à accompagner.

Sur le département nous n’avons pas de consultante en lactation.
C’est hélas un vrai manque.
Je suis joignable bénévolement si vous aviez besoin.
Il y existe également un groupe de soutien qui organise des rencontres à l’hôpital de Montauban :
– Mamans entraide allaitement : 06 43 03 65 84


Par contre, il y a une super consultante du coté de Cahors qui couvre également le Tarn et Garonne.
Son activité se nomme Cocon d’éveil.
Elle organise plusieurs ateliers autour de la parentalité.
Elle partage des valeurs de maternage proximal et d’éducation bienveillante.
Je vous invite vraiment à suivre ce qu’elle fait car c’est extrêmement intéressant.

Cocon d’éveil : https://www.cocondeveil.com
117 all. des Rimades
46090 Pradines
06 63 64 51 36

Pour les Toulousaines, les Gerçoises, les Agenaises, Les Albigeoises, et autres qui viennent me rendre de visite… Le site qui vous orientera le mieux vers les professionnelles est :

https://consultants-lactation.com/consultante/

Si vous comptez allaiter, si vous allaitez…
Votre bible sera évidemment la leche league :

https://www.lllfrance.org

Souvent des mères arrêtent leur allaitement sous mauvaises informations.

Le problème est que notre société nous a bien fait comprendre que d’allaiter est marginal, alors que c’est la fonction première de la poitrine de la femme que de nourrir son petit. Nous sommes une espèce parmi tant d’autres sur cette terre, la fonction de notre poitrine est celle là, qu’on s’en souvienne.
La société patriarcale a réussi à objetiser notre corps féminin. Et à l’objetiser de manière érotique. On te vend du déo ou du yaourt en montrant des nichons, mais si tu sors ton sein pour nourrir un enfant de plus de 1 an, tu es perverse.
Cherche l’erreur.
Ajoutons à cela que les lobbys pharmaceutiques ont bien réussis à s’implanter dans les maternité à grands coups d’échantillons pour faire succomber les mères fragilisées par un post partum tout en leur faisant croire que leur lait pouvait ne pas être assez nourrissant… Jackpot !
L’allaitement, par contre est gratuit. ça ne profite donc à aucun organisme, aucune entreprise.
Pas de chiffre d’affaire sur les dos des mères qui donnent le sein et leurs bébés nourris goulument par le lait le plus adapté à eux.

Aujourd’hui cela a fait du mal à l’allaitement.
Les mères ne savent plus ce qu’est d’allaiter, ce que ça représente, comment on fait.
Les femmes ne se transmettent plus ce savoir et quand une mère dit à son entourage qu’elle veut allaiter on va la culpabiliser en lui disant par exemple qu’elle ne permet pas au papa de participer.
Alors j’espère, pour tous les enfants de la terre, que le père n’est pas là qu’au moment des repas.
Mais qu’il leur permet d’avoir de l’amour, de l’attention, de la protection.
Non. Donner un biberon ne fait pas de toi un père.
En revanche, que tu soignes ton enfant, l’entoure de ton amour, que tu l’apaises de ses pleurs, que tu lui donnes un sentiment sécure…ça oui, ça fait de toi un père.
Laissez les mères nourrir au sein vos enfants messieurs.
C’est le plus beau cadeau que vous pouvez leur faire (à votre enfant et votre femme).
Ensemble, avec votre soutien, votre famille tissera un lieu d’amour unique.
Non, ça ne vous privera de rien. Bien au contraire.
Votre présence autour d’eux, c’est cela qui fera la différence.

Si tu as envie de boire un petit verre à l’apéro tu peux.
Va voir sur le site de la leche league, inutile d’arrêter ton allaitement si tu as envie de profiter un peu.
Et oui, très peu d’alcool passe dans le lait (à condition tout de même de ne pas en abuser. Et si, toutefois, tu avais une grosse fiesta de programmée, il suffit juste de s’organiser.)
Tout comme un doliprane au final.
D’ailleurs, pour ce qui est des médicaments, faut pas croire tout ce que l’on peut dire.
En allaitant on peut suivre des traitements.
Mais encore une fois : la désinformation fait des ravages.
Pour savoir si tu peux prendre un médicament ou suivre un traitement tout en allaitant c’est ce site qu’il te faut consulter :
https://www.lecrat.fr
Mieux que le vidal, il répertorie tous les médicaments et indique s’il convient aux mères enceintes ou allaitantes.

Je me suis vue refusé un traitement par un dermatologue, m’assurant mordicus qu’il était contre-indiqué et me prenant de haut car il avait 40 ans d’expérience et que je n’étais qu’une pauvre petite saute de maman. J’ai voulu lui partager l’information du CRAT mais il n’a rien voulu savoir, me disant « mais vous, vous êtes de la génération d’internet… »
Mon médecin traitant, quant à lui, un peu plus informé sur les évolutions de la médecine m’a donné mon traitement et mon enfant se porte très bien tout en voyant mon soucis cutané s’améliorer. Merci Docteur !

Je suis en revanche beaucoup plus fermée sur le sujet tatouage.
Je pense que se faire tatouer pendant l’allaitement n’est pas ingénieux et j’invite les mamans à attendre la fin de l’allaitement pour le faire.
En cas d’infection, il peut être nécessaire de prendre des médicaments contre indiqué et donc sevrer prématurément et de manière abrupte pour une envie qui aurait pu être assouvie plus tard.
Cela fait donc plus de deux ans et demi que je patiente pour m’encrer mon petit dernier mais je préfère prendre mon temps et profiter de notre allaitement que de mettre tout cela en péril et surtout, de mettre à mal les besoins de mon fils.

Je ne suis pas qu’un fournisseur de lait.
Je suis son doudou, son repère, son médicament tout en fournissant le lait qui lui permet d’avoir les besoins nutritionnels adaptés à ses besoins.
Le lait maternel évolue en fonction de l’âge et des besoins de l’enfant.
Quand mon fils est malade par exemple, mon lait s’adapte pour se charger en anticorps afin de lui permettre de se soigner plus vite.
Nos corps sont extraordinaires.
Les échanges salives lait permettent au corps de la mère de « scanner » les besoins du bébé et d’adapter en fonction.
C’est pas de la magie ça ?

Voilà, j’ai fait un peu le tour d’horizon de ce que je peux partager sur ce sujet et peut-être même que j’en oublie.

La dernière chose que je souhaite évoquer c’est l’arrêt ou l’absence d’allaitement.
Quoi que tu décides, tu ne dois le faire qu’avec ton envie propre à toi.
Même le papa, ne devrait pas avoir d’influence sur ton choix.
Tu as le droit de vouloir allaiter.
Tu as le droit de vouloir arrêter prématurément ou tardivement.
Tu as le droit de ne pas vouloir allaiter.

Mais s’il te plait, essaie de prendre tes décisions en pleine conscience et sans influence.
Le déconstruction est un chemin fastidieux mais tellement libérateur.