Et puis un jour, il m’arrive un truc dingue !
Mon téléphone sonne :
« Allô ? Plume de L’effet mère ? Ici Nikon, nous aimerions que vous interveniez sur notre stand au salon de la photo à Paris ! »
😱😱😱😱😱
Si c’est pas un truc de ouf ça !
Mon coeur bat la chamade, mon sourire déborde de mon visage, mes yeux pétillent de bulles scintillantes… Bref, je dis Oui ne cachant pas mon enthousiasme !
Je travaille avec du matériel Nikon depuis mes débuts. Mon premier appareil photo était un D90x que j’avais acheté pour réaliser mes portraits privés, ceux de mes enfants. Ensuite, quand est venue l’envie de devenir photographe, il était logique pour moi de continuer avec la marque, étant totalement conquise.
Lorsque je me suis installée à mon compte, évidemment il était grand temps de passer sur du matériel professionnel et j’avais fait le choix d’un modèle semi-pro pour débuter, le D7000. Toujours équipée de mon 50mm 1.8, j’ai craqué pour la version 1.4 !
Chemin faisant, l’achat d’un second boitier s’imposait, j’ai investi sur plein format, mon tant aimé D800 ! Vint ensuite l’acquisition du 24-70mm 2.8 parce que j’en avais un peu marre de servir de zoom humain sur les événements type mariage ou baptême (oui oui, tu as bien lu, au début je faisais mes mariages, baptêmes et tout en fait… au 50 mm… une dingue !).
Quand j’ai obtenu le « Portraitiste de France » en 2015, je m’étais faite la promesse de m’offrir en récompense de mon nouveau titre le 105mm, ce qui fut donc chose faite !
Entre temps, le D7000 a laissé place à un D700 en second boitier et aujourd’hui, certains objectifs me font de l’oeil…
Et c’est ainsi, devant quelques personnes (une centaine environ, trois fois rien quoi…), que je me retrouve sur la scène du stand Nikon à Paris !
Ils voulaient que je parle de photographie sociale. De ma vision, de mon travail. Pourquoi suis-je portraitiste ? Pourquoi les enfants ? Les bébés ? Comment ?
Alors voici mon intervention.
C’était magique…
Et puis vous savez ce qu’est le plus magique ?
C’est qu’ils étaient là, eux ❤